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VRO Yanadi, nouveau projet aide les femmes en Inde

February 11, 2019 at 16:16

C’est le père belge Michael Windey (1921-2009) qui fut à la base de ‘Village Reconstruction Organisation’ (VRO). Dans le temps, il était nécessaire de reloger les victimes des fortes inondations dans le sud de l’Inde.

La problématique est toujours d’actualité. Ainsi, la branche belgo-indienne (BIVRO) collecte toujours des fonds pour la reconstruction de villages comme pour l’enseignement des enfants.

Le nouveau projet ‘VRO Yanadi’ (réf. 2018/58) vous invite à soutenir un programme de formation des femmes dans les communautés Yanadi, district de Guntur dans l’état de l’Andhra Pradesh en Inde. Deux fois par an, sur deux sites, 25 femmes suivront des cours pendant quatre mois afin de se préparer à jouer un rôle actif dans la vie économique.

Plus d’info: ProMagazine 7.28-2, p. 1+4

Soutenez les ‘étudiants de Khulna’ au Bangladesh

February 11, 2019 at 15:29

Au Bangladesh, les catholiques constituent une petite minorité de la population. L’Église y est pauvre en cela s’applique aussi à Khulna, l’un des diocèses le plus pauvres du pays.

Fr. Dominic y est prêtre de la paroisse Shimulia, située près de la frontière avec l’Inde. En plus, il gère deux écoles et un orphelinat.

Avec votre soutien, Fr. Dominic souhaite permettre aux orphelins et aux enfants dalits d’aller à l’école primaire. Pour couvrir les frais de scolarité d’un groupe de 25 élèves, il faudrait récolter 3 000 euros / ans (Khulna Students – 2018/57).

Plus d’info: Promagazine 7.28-1, p.2

Mummy Home brise le cercle vicieux – nouveau projet en Inde du Sud

September 21, 2018 at 13:44
La malnutrition et l’absence d’eau potable menacent la santé des enfants dans la région de Telengana, au Sud de l’Inde. La chaleur et la sécheresse n’ont guère amélioré les conditions de vie de la population, surtout des Dalits et les tribaux.

Le P. Anil se met au service des plus pauvres et lutte pour améliorer les conditions de vie des femmes et des enfants. À la crèche Mummy Home, il accueillera les enfants dès l’âge de 2 ans, permettant aux mères d’aller travailler. L’admission à Mummy Home garantira aux enfants une alimentation saine et une eau filtrée. En plus, Mummy Home offrira un enseignements préscolaire. Sans maîtrisse des bases de lecture et de calcul, les petits ne seront pas admis dans une école primaire.

L’aide au projet du P. Anil est arrivé dans sa phase de réalisation. Le terrain a été acheté et durant le mois d’août 2018, un puits a été creusé qui donne siffisament d’eau pour rendre le projet viable. La construction proprement dite démarrera en tout début de l’année 2019. Dès que la construction sera terminée, le P. Anil accueillera les petites filles et petits garçons à partir de deux ans jusqu’à leur entrée dans une école primaire. Grâce à l’éducation, les filles pourront échaper au cercle vicieux des mariages d’enfants et du travail des enfants.

projet : Mummy Home (2018/56)

Plus d’info, voir ProMagazine n° 7.27-1, pag. 1+2

Solange-Kigali, une approche innovante au Rwanda – nouveau projet

September 21, 2018 at 12:43
Avant de s’engager au Rwanda, Koen D.P. a travaillé 20 ans en Belgique comme conseiller d’éducation, pour l’orientation des personnes en situation de stress et comme travailleur social au sein d’un service socio-éducatif de famille. Lors de sa première visite à la capitale de Rwanda, il a rencontré ‘Solange’, un enfant blessé au visage, membre d’une famille monoparentale. Situation classique: pas d’argent pour se soigner, ni payer les frais scolaires.

Koen a mis tout son savoir-faire acquis en Belgique au service de cette famille rwandaise. Il a veillé à ce que l’enfant consulte un médecin mais surtout, il a encouragé la maman à trouver un emploi selon ses capacités, afin de toucher un revenu pour améliorer l’habitation de sa famille et afin de pouvoir payer elle-même les frais scolaires de Solange. Avec succès ! Mais, il reste beaucoup de ‘Solanges’ à Kigali.

Entretemps, Koen s’est engagé en plus dans l’académie de football de Kigali. Le gouvernement a investi beaucoup dans les infrastructures, mais il manque un bon encadrement pour la jeunesse. Beaucoup de garçons talentueux s’entraînent sans porter l’équipement approprié, faute d’argent à la maison. Votre soutien est bienvenu.

Prochainement, il pourra organiser des cours de thérapie du stress. Les parcipants apprendront d’abord eux-mêmes, puis enseigneront à des autres, à controler leurs angoisses post-traumatiques.

projet : Solange Kigali (2018/55)

Plus d’info, voir ProMagazine n° 7.26-2, pag. 3