Le virus d’Ebola a peut-être disparu de nos médias, mais en Afrique Occidentale il continue de faire des victimes, et cela depuis plus d’un an. Aussi l’enseignement dans les pays touchés s’est-il considérablement détérioré. Mais il n’y a pas qu’Ebola qui a une telle force destructrice. Peu médiatisée, la malaria affecte mortellement des communautés entières depuis des années et empêche le développement durable et un enseignement de qualité. Mais il y aurait de l’espoir. L’espoir sous la forme d’une plante peu coûteuse. Apprenez-en plus dans ProMagazine en ligne.

Grâce à votre solidarité, nous avons récolté l’année dernière la somme de 489.043,89 euros. Un grand merci!

Cela prouve que, comme nous, vous attachez de l’importance à l’éducation pour tous, partout dans le monde. D’année en année, Proma se développe, et nous n’en sommes pas peu fiers. Nos partenaires du sud peuvent ainsi offrir un accès à l’éducation de qualité à un nombre croissant de jeunes et d’adultes. Notre rapport annuel 2013 vous donnera bientôt un aperçu de nos réalisations.

Êtes-vous toujours à la recherche d’un cadeau de Noël original? Que diriez-vous d’un calendrier de Proma? En offrant ce calendrier, vous ferez certes plaisir à votre famille ou vos amis, mais également à plusieurs centaines d’enfants de par le monde, qui bénéficieront d’une bonne éducation grâce à votre soutien.

Le calendrier (50 cm x 32 cm) coûte 10 euros (frais d’expédition non compris). Vous pouvez effectuer votre commande par e-mail ou au 02 679 06 30. Les fonds ainsi récoltés permettront de soutenir des projets d’enseignement  aux quatre coins du monde. En achetant un calendrier de Proma, vous pouvez indiquer le projet que vous souhaitez soutenir en particulier.

Nous vous remercions d’avance pour votre soutien et vous souhaitons d’ores et déjà d’excellentes fêtes de fin d’année.

En Inde, pays, dont on apprécie l’ascension économique, de nombreux enfants ne sont pas scolarisés. Pourtant, en 2009, le Parlement indien a adopté une loi sur l’éducation gratuite et obligatoire pour les enfants âgés de 6 et 14 ans. Quatre ans plus tard, on constate qu’il reste encore beaucoup à faire.

Dans le dernier ProMagazine de 2013, l’organisation indienne AREDS a relevé ce manque de mise en pratique. Elle a attribué la responsabilité de ce déficit aux autorités indiennes. L’Inde a encore du chemin à parcourir avant de voir tous les enfants bénéficier d’un accès gratuit à l’école. En outre, vous pouvez voir comment les jeunes rwandais apprennent une profession dans le centre Gatenga et comment les jeunes qui bénéficient du projet Cooperativa Bello acquièrent le savoir en matière de nutrition.

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